@Durand
Ici, on trouve la fameuse position de Camus... Non, il ne suffit pas de dire qu’il y ait des victimes des deux côtés pour conclure qu’il n’y avait pas d’agresseur, de traîtres, d’opprimé, de soumis... Simple exemple : je viens fracasser la porte de votre domicile, j’entre, je m’installe... Je donne des bonbons à un de vos enfants pour qu’il me dise tout ce que vous faites... et à chaque acte que je juge malveillant, je vous inflige une sanction... Vous vous rebellez, vous me blessez par un couteau de cuisine. Je suis victime ? et votre enfant n’est pas traître ? Peut-être allez-vous le récompenser aussi ?