Seules les autruches ne savent toujours pas voir les chiffres, qui démontrent que cette maladie est bénigne.

Oui, il y a eu un afflux de patients dans les hôpitaux, et notamment dans les réanimations.
Oui, ces patients étaient de vrais malades, de même que les décès étaient de vrais morts.

Mais cet afflux de patients dans les hôpitaux a été causé (« décryptage », comme diraient nos petits mythos) :
• par l’hystérie médico-médiatique, laquelle a paniqué tous les malades chroniques habitués des urgences, du 15 et du 18

• par l’interdiction faite aux médecins de ville de traiter ces patients avec les molécules de leur choix

• par l’obligation de déclarer tout patient Covid positif (donc interdiction de les soigner comme on soigne une grippe)

• par la gratuité et l’omniprésence des tests de dépistage, peu fiables par ailleurs, qui ont paniqué les positifs (puisque « contaminé » signifiait « malade », voire « bientôt mort », pour les autorités), à fortiori les personnes porteuses de comorbidités.

• par la facilité avec laquelle, dans les hôpitaux, les décès avec polymorbidités ont été étiquetés mort du Covid plutôt qu’avec le Covid.

À ce stade, ce n’était pas un afflux, mais ni plus ni moins qu’une nasse…

Il se trouve que dans notre pays de vieux, nombre de vies ne tiennent qu’à un fil : ceux-là sont la « matière-première » de cette super-production médico-médiatique à gros budget. Habitués des soins hospitaliers, ces malades vivent la moité de leur temps à l’hôpital, et s’y font reconduire à la moindre alerte — ce qui n’est pas difficile à comprendre.

Le deuxième « vivier » de victimes : les personnes très âgées, ainsi que les jeunes obèses-hypertendus-diabétiques — tout particulièrement les individus émotifs et impressionnables (« bons spectateurs », dirons-nous, ou handicapés, ou analphabètes…)

Pour finir, un petit quizz pour les fameux fact checkers :
• Pourquoi, plus une épidémie virale respiratoire est bénigne, plus elle s’étend dans le temps et l’espace ?

• Inversement, pourquoi, plus une épidémie virale respiratoire est mortelle, plus elle est circonscrite dans le temps et l’espace ?

• Quelles répercussions, sur la morbimortalité de toute une nation, peuvent bien avoir les traitements médiatiques, médicaux et politiques de cette épidémie ?

• Enfin, si le SARS-CoV-2 peut produire des « Covid longs », des AVC, des infarctus du myocardes, des infarctus rénaux et mésentériques, des embolies pulmonaires et des phlébites, des anosmies, des agueusies, des apathies, des à-peu-près et des aberrations, des cancers multiples, des hypertensions et du diabète, des dépressions et des psychoses, des fausses-couches et des stérilités, des suicides, des faillites et des guerres — alors pourquoi, mais pourquoi ne sait-il pas faire le café ??