Comment ne pas se poser la question de la relation pass-sanitaire, « vaxxins » et H1N1.

En 2009-2010 une bête maléfique sévit, si je me souviens, le gouvernement de l’époque avait acheté presque 100 million de doses qui ont fini par être jetée à la poubelle.

Car malgré les alertes, les recommandations etc, le gentil mougeon de l’époque ne s’est pas précipité sous les aiguilles salvatrices, se contentant de voir disparaître ses vieux congénères quitter un peu plus tôt que prévu le troupeau.

Le Berger est resté très en colère de ce gâchis, non pas des vieux mougeons, qui devenait nombreux dans le troupeau, et coûtais fort cher consommant de l’herbage mais ne produisant presque plus de laine, mais des doses si chèrement acquises.

Ont ne m’y reprendra jamais s’était-il dit

Presque 10 ans plus tard, revient un cousin de la bête malfaisante. La peur est revenue, non pas chez les mougeons, mais chez les Bergers, frappés ont ne sait comment d’un intérêt immodéré pour la santé de leur troupeau.

Le temps à passé, les bergers se sont montés en union de troupeau, Rebelotte, cette union achète des milliards de doses, se targuant du prix fort bas obtenu.

Le marchand de doses, astucieux qu’il est, ne s’est pas engagé 

C’est rapidement posé la question de faire passer les gentils mougeons sous les aiguilles, quelques berger eurent alors la même idée. 

Attendons, la veille de la transhumance vers les pâturages verdoyants, pour mettre en place une obligation fallacieuse que nous connaissons et le mougeon sera contraint de se faire piquer. Mais devant la récalcitrance de certain mougeons, l’obligation dura, obligeant ces derniers à passer sous les aiguilles pour revenir à la Bergerie.

En fin observateurs, les Bergers constatèrent que cette mesure, diminuait en partie les réunions de mougeons dans des lieux propices à une certaine réflexion, pouvant produire des mouvements inopinés du troupeau et décidèrent de maintenir ces mesures plus longtemps que prévue.

Très sincèrement.

Si le Covid était si dangereux que l’ont nous l’a rabâché au début, que son action mettait en péril la vie de tous Français, une sorte d’extinction (rappelez vous le catastrophisme du début) ; Beaucoup auraient été se faire vacciner sans contrainte, pas besoin d’un laisser passer.

Mais, avant de basculer totalement dans le coté obscur, les Médias ont semé involontairement le doute sur les fameux « vaxxins », En plus, malgré l’égrènement mortifère du soir, personne ne voyait les charrettes mortuaires encombrer nos rues.

S’est donc installé chez certains le « doute » dont le synonyme est désormais « complot » et ses dérivés.

De là à penser que ce « pass » quelque chose, cache surement autre chose, il n’y a qu’un pas.