@Ben Schott
A propos de faux-culs, on jubile en écoutant Brassens parce qu’on s’imagine qu’il parle... des autres. Mais il nous parle de nous. Il parle sans doute aussi de lui-même, imbécile heureux né et enterré à Sète. C’est pour ça qu’on l’aime bien parce que sa férocité était sans illusion sur lui-même, et toujours avec un sourire, voire une franche rigolade.