@l’auteur
Je ne comprend pas la
problématisation posée par l’article, ses non-dits :
1. Le
sport serait animé d’un « esprit » de trêve et de
rencontre paisible, alors qu’il est l’exacerbation de la concurrence
autant individuelle que collective, l’euphémisation de la guerre et
finalement du marché. Les « valeurs » du sport ne sont
donc finalement que celles de l’argent : imposer des règles
égalitaires pour produire, justifier et glorifier des inégalités ! Le
sport est donc, comme la guerre et le marché, foncièrement immoral dans ses
finalités !
C’est le contraire de la solidarité et du
don de soi comme corps et comme âme.
2. Le genrisme, l’homosexualisme militant n’est rien d’autre
qu’une forme de marchandisation concurrentielle libérale du genre
et/ou du sexe vu comme arme opposable et comme valorisation
négociable : comme le sport égalise les corps, il égalise les
genres/sexes pour mieux inégaliser les relations, diviser,
segmenter, conflictualiser... et même stériliser !
Donc le mélange des genres comme
guerre entre genres est inhérent à l’ « esprit »
même du sport-spectacle du tous contre tous, des jeux du cirque de
l’immoralité sociale glorifiée, bref du libéralisme.
Où est
la contradiction ?
La contradiction, c’est que les « gens de droite conservatrice » chérissent les causes structurelles sociales dont il déplorent les effets conjoncturels sociétaux.