Je relève juste :
"Comment peut-on inventer une telle fable sans qu’aucun détail ne dérange [...] ?
Plus loin :
« Il suffit [...] d’avoir la voix qui tremble, de raconter des péripéties tellement extraordinaires qu’on ne peut les mettre en doute [...] »
Et ici :
« La télé aime exhiber des gens dont le degré supposé de souffrance leur vaut d’être mises sur un piédestal [...] »
Ou là :
« Méfions-nous des gens qui arrachent nos larmes »
C’est drôle, que ça ne vous rappelle pas la toute dernière superproduction télévisée mondiale et "participative... Rappelez-vous, le public a été amené a faire le show lui aussi, de gré ou de force...
C’était l’histoire d’un virus si mortel, qu’il fallait tester les gens pour savoir qu’ils étaient malades... Si mortel, que deux ans plus tard, nous sommes toujours là pour en parler et pour l’attraper... Si mortel, que 99,5% des humains sont toujours vivants aujourd’hui...
Méfions-nous surtout de la télévision, et observons avec plus d’attention le monde autour de nous. Soyons nos propres journalistes, et allons chercher les informations ou les connaissances qui nous manquent parfois.