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Legestr glaz Legestr glaz 17 novembre 2021 21:44

@sirocco

Ce qui est certain, c’est que l’organisme humain va « réagir » si on lui injecte un agent pathogène dans la circulation sanguine via une seringue. C’est bien ce qui se passe lorsqu’on vaccine quelqu’un contre la grippe, par exemple. Une forme atténuée, ou affaiblie, ou ou désactivée, du virus est introduite dans le corps de la personne vaccinée ce qui va amener l’organisme à produire des anticorps contre cet agent pathogène. 

Mais, il y a un mais. La population « cible » des vaccins anti-grippaux, est la population âgée. Et, dans cette population légions sont les diabétiques, les hypertendus, les malades du coeur, les malades des coronaires, les insuffisants rénaux, les prennes en surpoids ou obèses. Et ces pathologies ne sont pas neutres. Elles sont le signe que le glucose sanguin est trop souvent, trop longtemps élevé. Et qu’est-ce que cela change concernant les anti-corps ?

Et bien tout, absolument tout ! Les anti-corps se sont des immunoglobulines qui circulent dans le sang, on va dire ce sont des agents de surveillance dans la circulation sanguine. Et, lorsque le taux de glucose sanguin est trop souvent trop élevé, toutes les protéines circulantes de l’organisme, dont les immunoglobulines (ce sont des protéines) vont subir un phénomène que l’on appelle scientifiquement « la glycation non enzymatique des protéines ». C’est très connu, c’est très délétère pour l’organisme. Cette « glycation non enzymatique » se produit en plusieurs étapes. La première peut être réversible (la base de Schiff), à condition que le taux de glucose sanguin chute, mais les autres étapes ne le sont plus (réarrangements d’Amadori) ce qui amène à la formation des produits terminaux de la glycation (AGEs) lesquels vont pouvoir s’ajuster à des récepteurs cellulaires (RAGEs) et causer des dommages définitifs aux cellules (dont des cancers parce que les AGEs peuvent agir sur l’ADN via la production d’un stress oxydatif intra-cellulaire très puissant). 

 Ceci pour écrire que si après la vaccination, en septembre-octobre, la personne se met à produire des anti-corps, ceux ci seront très rapidement détruits par le phénomène de « glycation non enzymatique des protéines ». L’espérance de vie des immunoglobulines dans la circulation sanguine est très faible compte tenu des pathologies existantes chez les personnes cibles de la vaccination anti-grippale et ceci parce que les immunoglobulines seront attaquées et leurs fonctions détruites par la « glycation ». La vaccination ne peut pas être efficace. En revanche, il y aurait d’autres moyens de protéger cette population cible ! 

https://www.acadpharm.org/dos_public/Pres_Philippe_GILLERY_22_Janvier_2014.p df


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