Je ne comprend pas cette façon complaisante de raisonner à l’envers.
Si quasi-pathologie il y a, c’est l’addiction, la dépendance irraisonnée mentale et affective au smartphone dont le sevrage occassionnel provoque une frustration. OK. Mais la phobie éventuelle c’est l’addiction, pas la frustration !
En adoptant ce mot imbécile étymologiquement mal construit « nomophobie » on ne fait que renforcer l’idée que la normalité saine c’est l’addiction !
Bien des mots sont mis en circulation pour ancrer une confusion mentale virale qui sert évidement des intérêts faciles à identifier. Ici le faux semblant d’une étymologie à racine grecque foireuse sert de caution scientifique bidon alors qu’il s’agit d’un vulgaire jargon marketing de sondeurs anglo-saxon.
Ne nous laissons pas contaminer !