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Renaud Bouchard Renaud Bouchard 31 janvier 2022 10:13

@Joséphine
Puissiez-vous avoir raison !
Mais quelle est cette folie qui pousse des parents à risquer la vie de leurs enfants ?
Dussé-je le répéter : je ne suis pas contre les vaccins. Je suis simplement radicalement opposé à l’administration d’une thérapie génique faussement qualifiée de « vaccin », dont on ne connaît pas l’efficacité sur le long terme, qui se trouve aujourd’hui imposée à des populations-cobayes auxquelles on a commencé à faire peur et dont une partie, légitimement réticente, se trouve aujourd’hui littéralement punie, ostracisée, pour la contraindre à accepter et se soumettre à quelque chose dont elle ne veut pas, sachant que tout ce processus s’inscrit dans une liberté faussée qui ne privilégie que des intérêts financiers d’une industrie pharmaceutique qui dirige désormais tout.

Ce qui suit est terrifiant :

https://www.linternaute.com/actualite/guide-vie-quotidienne/2542344-vaccination-des-enfants-les-regles-evoluent-l-academie-de-medecine-veut-aller-plus-loin/

VACCINATION ENFANTS ET ADOS. Comment accélérer la vaccination des enfants ? Le gouvernement a « simplifié les choses » sur l’accord parental. "On connaît les réticences, mais la vaccination vaut la peine", a fait savoir le Monsieur vaccin de l’exécutif.

Sommaire

[Mis à jour le 26 janvier 2022 à 13h49] Le gouvernement ne se satisfait pas de l’avancée actuelle des la vaccination des enfants en France. L’exécutif, sous la demande du Conseil d’Etat, avait demandé à ce que l’accord des deux parents soit nécessaire pour la vaccination des enfants de moins de 12 ans. Le ministère du ministère de la Santé fait marche arrière : l’accord d’un seul parent suffit. « Nous simplifions les choses », a fait savoir le ministère, mardi 26 janvier, en point presse.

Cette évolution a pour objectif de ne pas "dramatiser la vaccination", qui est considérée par le ministère de la Santé comme sûre, dans un contexte de circulation intense du Covid-19 dans les établissements scolaires, comme l’a signifié Alain Fischer sur LCI le 20 janvier. "On connaît les réticences, elles existent, mais la vaccination vaut la peine", a-t-il ajouté.

Jeudi 20 janvier, le Premier ministre Jean Castex a annoncé avait annoncé que la vaccination des plus jeunes devait « progresser », ouvrant le rappel vaccinal pour les 12-17 ans.C’est sur la base du volontariat que cette vaccination peut être décidée par les parents, sans obligation et sans qu’un pass sanitaire ou vaccinal ne soit mis en place chez les enfants de moins de 12 ans.

Des avis favorables à la vaccination des enfants

Afin de rassurer les parents, l’ensemble de l’exécutif a rappelé avoir attendu les avis de plusieurs instances scientifiques et sanitaires, de celui du Comité consultatif national d’éthique (CCNE), à celui de la Haute autorité de santé, en passant par celui du Conseil d’orientation pour la stratégie vaccinale (COSV), avant d’ouvrir la vaccination aux enfants. Un moyen de rappeler que ce vaccin est sûr - ce qu’ont martelé les autorités susmentionnées à de nombreuses reprises. Autre fait rassurant : le fait que que l’Hexagone ait attendu les résultats en vie réelle des pays ayant déjà ouvert la vaccination aux enfants (notamment les Etats-Unis). Sans l’obligation vaccinale et la mise en place d’un pass sanitaire, nul doute qu’un laps de temps sera tout de même nécessaire avant de parvenir à convaincre les parents.

La raison de cet élargissement de la vaccination ? Pour tous les scientifiques consultés, le rapport bénéfices/risques de la vaccination des enfants s’avère « favorable » sur le plan individuel, même chez les enfants en bonne santé. La HAS estime par ailleurs que la vaccination des enfants "pourrait potentiellement réduire l’impact de vagues ultérieures en réduisant la circulation du virus dans la population générale", et pointe qu’il est utile de prioriser la vaccination des collégiens, âges de moins de 12 ans.

L’Académie de médecine veut des séances de vaccination à l’école

L’Académie de médecine souhaite quant à elle aller encore plus loin. Dans un communiqué, l’instance écrit : "Afin de prévenir les risques individuels et collectifs liées à l’imprévisible évolution de la pandémie, les académies recommandent de hâter la vaccination des enfants âgés de 5 à 11 ans contre le Covid-19 pour atteindre le plus rapidement possible une bonne couverture vaccinale : en augmentant l’offre de vaccination, c’est-à-dire le nombre de centres proposant la vaccination pour les enfants (actuellement 300 contre 1500 pour les adultes) ; en diversifiant les personnes autorisées à vacciner les enfants ; en allégeant les obstacles administratifs qui limitent l’accès des enfants à la vaccination ; en favorisant les prises de rendez-vous de vaccination pour les enfants scolarisés ; en organisant des séances de vaccination à l’école, par des équipes mobiles, en concertation avec la médecine scolaire ; en « allant vers  » les enfants porteurs de comorbidités et non vaccinés pour convaincre les parents de la nécessité de les vacciner face au risque de formes graves ; en utilisant tous les moyens d’information et de communication dévolus à l’éducation pour la santé afin de convaincre et rassurer les parents hésitants.

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