Merci pour cet article, tout ce processus de démantèlement des services publics de l’énergie est commandité par l’Union européenne. Il s’effectue sous son contrôle direct et dans le mouvement qu’elle épouse de marchandisation croissante de la société.
Entre une chose et son contraire, il va falloir choisir : si l’on veut maintenir nos services publics, le Frexit, c’est à dire la dénonciation juridique des traités européens (T.U.E et T.F.U.E) est absolument nécessaire.
L’UPR l’explique et le propose depuis près de 15 ans : ne cibler à chaque fois que le gouvernement est un piège dont le but est l’enlisement de la situation. Bien sûr, le gouvernement a sa part de responsabilité en choisissant de n’être qu’un piètre exécutant et il doit être dénoncé. Mais si nous ne remontons pas au commanditaire, alors nous nous enfermerons dans un rôle similaire à celui de Sisyphe (condamné éternellement à faire dévaler une lourde pierre d’un versant à un autre) : chassant un gouvernement à cause de sa feuille de route découlant de l’Union européenne, pour en mettre un autre qui en fin de compte suivra la même feuille de route, celle des GOPÉ