Ce n’est probablement ni l’insuffisance d’espace vital, ni un virus, ni
le feu nucléaire... qui viendront à bout de l’humanité – ou d’une
nation, d’une région ou d’un continent en particulier, après qu’elle ait
saccagé la planète, mais l’ingouvernabilité d’une population mondiale
ayant proliféré jusqu’à la démesure.
Tu mets en parallèle des notions qui ne sont pas comparables :
— des paramètres physiques (espace vital...nucléaire) d’un côté,
— un comportement de l’autre (ingouvernabilité).
La construction d’un raisonnement suppose une relation de « causes à effet ».
Démesure, c’est vague et je ne vois pas d’effet précis.