Les crises sont un instrument de contrôle des économies libérales, la pédale de frein, souvent, utilisées par nos archontes quand la belle mécanique s’emballe et qu’ils veulent reprendre la main.
Ça peut aussi servir à faire crever ceux qui ne jouent pas le jeu, ou qui ne comprennent pas spontanément les règles de la mafia globaliste.