Quand je parle de non intervention, je veux dire : non intervention par la force. Cela ne nous empêche pas d’intervenir par d’autres voies : le dialogue, les pressions économiques. De toute manière, nous devons nous protéger, et protéger l’Europe de toutes formes d’hégémonie (russe, turque et même de l’Otan étasunienne…).
Intervenir par la force dans une situation obscure et emmêlée, et dont les causes sont profondes et anciennes, ne ferait que nuire davantage à la situation.