Bonsoir, Lynwec
Les sondages qualitatifs sont plus ou moins orientés (notamment par la forme des questions posées), pas les sondages d’intentions de vote.
Les instituts sont d’ailleurs en concurrence sévère, et ceux qui leur commandent lesdits sondages ne servent pas tous les mêmes intérêts politiques.
Surtout, l’évolution des cotes montre que grosso modo les sondages reflètent bien les aléas de la conjoncture économique et géopolitique. C’était déjà très largement le cas en 2017.
Sur les choix de Bayrou, je suis comme vous : je me perds en conjectures. Et comme vous je regrette — bien qu’adversaire de ses idées — l’absence d’Asselineau, en effet le seul candidat à défendre le Frexit, ce qui n’en faisait pas un fantaisiste dont la mise à l’écart pouvait être justifiée.