Levaï c’est quand même le mec qui est sorti du bois pour
défendre celui qui lui a piqué sa femme, celui qui a osé écrire un livre pour ce faire.
Une défense avec des
arguments imparables du style, « Anne n’aurait pas pu épouser un homme qui soit un
violeur » (on ne rit pas !), on savait depuis Desproges qu’elle n’aurait
pas pu épouser un homme qui ne soit pas juif (oui, oui, elle a écrit ça quelque
part) mais ne pas épouser un « violeur » jouisseur cela semblait
aller de soi, hélas, hélas, trois fois hélas
« Cette femme noire, laide » comme s’interrogeait un éminent membre de... de... de... enfin bref.... comment est-ce possible ?
Le drame, le vrai drame d’Ivan c’est qu’il n’en reviens tjrs
pas d’avoir épousé une héritière de sang royal, lui le petit rien de la tribu,
de la grande tribu des…martiens… il y pense la nuit le jour, et depuis « il
compte les heures » comme dirait Cabrel.
J’écoutais sa revue de presse (orientée, bien circonscrite,
on savait d’avance avec quels éléments il allait faire sa sauce, correcte ma
foi) et ce que j’aimais c’était parier quand est-ce qu’il allait se débrouiller
pour placer Giscard (déjà retiré depuis bien longtemps) ah aha j’adorais ça !