@Géronimo howakhan
Bonjour,
Votre
assertion relève de la sophistique : il suffit d’élargir ou
de décentrer le sujet, et le problème est résolu !
En
citant Villon « frères humains, qui après nous vivez »,
l’auteur se confronte au présent et au possible/souhaitable.
Il y
a tout juste 50 ans paraissait « Les limites à la croissance »
(The Limits to Growth) , juste avant
le premier choc pétrolier. Issu des travaux de chercheurs du
Massachusetts Institute of Technology (MIT), ce rapport dérangeant
fut vite mis sous le boisseau au nom des solutions technologiques que
l’on ne saurait tarder à trouver (argument toujours employé sans
plus de vérification, comme celui de la théorie du ruissellement)
et d’une addiction compulsive à la consommation effrénée. Il
vient d’être réédité, mais gageons qu’il sera à nouveau
largement ignoré par les pouvoirs politique et économiques comme le
fut le précédent. N’a pas l’influence du cabinet Mckinsey qui
veut !
Du
coup, l’échelle humaine ma paraît encore le bon endroit où
essayer d’agir solidairement.