"Le gaz doit d’abord être refroidi lors d’un processus coûteux dans les
terminaux d’exportation ... En arrivant à
destination, le processus inverse doit être initié pour transformer le
GNL en gaz.«
Oui mais pour les caniches de »l’Axe du Bien" que sont la plupart des candidats à la présidentielle, nous vivons à l’ère du quoi qu’il en coûte, c’est bien connu. La France qui ne décide plus de rien va donc continuer à obéir à son maître.
Alors commençons par aller ramasser des brindilles dans la forêt si on veut pas se les cailler cet hiver, au prix où sera le gaz yankee !