@sylvain Merci pour votre remarque, les indéterminations que vous évoquez existent en effet mais ce sont des cas rarissimes, et la loi demande malgré tout dans ce cas de constater le sexe homme ou femme après prise en charge de ces personnes par les centres des maladies rares.
Il est excessif d’ériger des cas particuliers pathologiques (sans jugement de valeur, comme pour toutes les pathologies) en généralités de nature à remettre en cause le dualité des sexes. Plus de confusion que de précision dans cette question « autre », surtout à destination de collégiens de 3ème.
Ce n’est pas ici un cours de biologie mais un test d’anglais !
Merci encore pour votre remarque qui permet d’affiner le propos.