600 milliards d’euros de dette supplémentaire en cinq ans (plus de 4 000 milliards de francs, soit dit en passant).
Pour combien d’hôpitaux ?
Combien d’écoles ?
Combien de tribunaux ?
Combien de bureaux de poste ?
Combien de services nouveaux ?
Aucun, zéro, nada.