Cette affirmation péremptoire est assez couramment entendue côté occidental : on ne nie pas les crimes de Kiev ( lesquels sont avérés et dénoncés par de nombreux habitants de Marioupol, par exemple), mais on prétend que côté russe, ce serait pareil : on pense ainsi que la vérité serait dans le renvoi dos-à-dos, une sorte d’équité dans les torts, mais qui arrange bien Kiev et les nazis : le procédé a été initié par eux durant la guerre.
Sauf qu’on ne saurait renvoyer dos à dos nazis et résistants, les seconds se sont opposés aux crimes des premiers, et la Russie est venue en renfort, au sein d’une population russe ou russophone, auxquels les premiers ( on a les vidéos) déniaient toute humanité.