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On exagère beaucoup l’affaire de cette lycéenne de Gaillac extraite de sa classe par la maréchaussée pour avoir dit à Macron qu’il ne faut pas nommer ministres des hommes accusés de viol ou agression sexuelle.

Si l’on s’en tient aux faits, elle n’a pas été tabassée dans sa classe, ni dans la cour du lycée, ni dans le panier à salade, ni à la gendarmerie, ni éborgnée, ni gazée, ni inculpée d’outrage à personne dépositaire de la force publique quand elle a osée un « Mais heu, quoi heu ? », ni accusée de rébellion quand elle a dit : « Je range mes cahiers d’abord ».

Et, voyez : comme les chevau-légers macronisés ne sont pas des policiers du quai des Orfèvres et elle une touriste canadienne (le Tarn est le département de Jaurès) elle n’a même pas subi le début du commencement d’une amorce du dernier outrage avec des graveleux : « Tiens-la bien, Roger, je vais te lui en foutre, moi, du droit des gonzesses et du mon corps est à moi ».

Comme quoi il faut relativiser. D’autant plus que les Pandore ont expliqué qu’il étaient allés au lycée pour lui proposer de l’aide dans ses démarches féministes et que, finalement, ils s’excusent de lui avoir proposé de l’aide.

Je viens de comprendre le succès du théâtre de Guignol.

Théophraste R.


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