@Séraphin Lampion
En effet, dans notre « économie numérisée » (si je reprends cette expression qui m’exaspère) il n’y aura plus besoin de savoir quoi que ce soit. Au contraire, pour entretenir la technobéatitude il faut garder les masses ignares en sciences. Quelques spécialistes issus de familles pouvant se permettre de payer un cursus non ordinaire à leurs enfants, se contenteront de développer services et gadgets qu’utiliseront les 95% de gueux, ubérisés ou chômeurs.