@Mirlababo
Merci à vous pour cette extrapolation.
A vrai dire, pour ma génération (années 50), il s’agissait de se subir les suprêmes intelligences du moment ou de se rebeller contre elles, dans la solitude bien souvent.
Plus haut j’ai parlé de zététique. Un neurobiologiste zététicien associé à un endocrinologue et à tous les spécialistes qui dissèquent le fonctionnement d’un humain expliquerait peut-être 99% de mon comportement, des associations de mots qui me viennent à l’esprit, j’en suis convaincu. Vous pouvez être convaincu que pour mettre le reste dans la moulinette aristotélicienne, ce n’est qu’une question de temps.
Je réponds à votre question qu’intimement, sans forcer la réalité, j’ai parfois au réveil le sentiment d’émerger d’un égrégore (terme vague) auquel j’ai participé. Je ne crois pas qu’il y ait la place en un cerveau humain pour abriter les différentes personnalités que j’y ai côtoyé.
Et pourtant, comme on dit, je suis désespérément normal. Au point de pouvoir tenir ce discours hors internet.