« La terre aux vivants »
Même les « jardins
du souvenir », espaces pourvus d’un trou, surmonté d’une grille et de
pierres, destinés à recevoir des cendres ne sont pas très éloignés du principe
de la fosse commune et les cendres finissent par s’agglutiner.
Le choix de la crémation et de la dispersion des cendres est de plus en plus
prononcé.
Le
souvenir des défunts n’est pas une question matérielle, mais mentale, même si beaucoup
refusent d’admettre que le « scandale de la mort » est inhérent à la
condition humaine et tiennent à laisser une trace de leur passage.