J’ai cru que vous alliez nous faire le coup des « usagers
pris en otage », avec l’ « arrière garde du syndicalisme outrancier » !
Moi, la plus grosse prise d’otage que j’ai connue, ça a été
le confinement.
On ne comprend pas très bien dans votre article ce qui est
la cause du déclin du chemin de fer : « nos
chers décideurs. » (comme vous dites), les syndicalistes
corporatistes ou le manque de compétence des organisateurs.