Bonjour Sylvain,
C’est dommage, vos photos de Marilyn sont affreuses. Peu importe !
Et en ce soixantième anniversaire de sa mort, je pense à cette phrase de Lao Tseu :
« Si quelqu’un t’a fait du mal, assieds-toi au bord de la rivière, et tu verras passer ton ennemi »
Pourquoi j’écris cela ?
Parce que ses assassins (c’est désormais certain) sont morts assassinés eux aussi : JFK en 1963, RFK en 1968.
Mais vous devez croire encore à un suicide...
Belle entre les belles, nous n’aurions de toutes les façons pas aimé la voir vieillir, devenir une vieille cocotte emplumée (mais, la connaissant bien, je ne crois pas qu’elle aurait mal vieilli).
Je l’aime. Je l’ai toujours aimée.
Et j’ai compulsé et étudié la réouverture de l’affaire, les questions, les réponses du petit monde qui l’entourait, de plus en plus rare vu le temps qui passe (même les dossiers en anglais), les ouvrages plus ou moins commerciaux, les livres écrits avec tendresse, d’autres avec des sentiments moins tendres, voire méchants.
Cette « affaire » est encore une « cold case » aux US et le restera jusqu’à la fin des temps.
Et ce n’est pas en énumérant ses films que l’on peut connaître Marilyn. « Ils » l’ont détruite. Sauf peut-être Di maggio qui l’aimait vraiment...