Ca n’influera pas sur le cours de l’opération, dont l’issue est inéluctable, au grand dam des poutinophobes (ou plutot des russophobes, puisque Poutine c’est la Russie). Et ce qui prouve aussi, si la Crimée peut ete frappée, la nécessité d’étendre la zone de l’opération spéciale, afin que les citoyens russophiles de ces zones puissent vivre sans la hantise des bombardements des ukronazis. Au fait çà en est ou, la reconquete de Kherson ?