@Gruni
Je précise que j’entends bien que la violence, et plus spécifiquement la violence et la « prédation » régissant les relations inter-sexes, est un vrai sujet et que des réponses politiques, sociales, culturelles et éducatives, ... fermes devraient permettre — sinon de l’abolir, certains déterminants hormonaux semblant y prédisposer — à tout le moins de très sévèrement la réprimer et la limiter.
Je doute néanmoins que leur instrumentalisation politicienne y suffise, et j’ai même tout lieu de croire que les outrances intellectuelles et verbales auxquelles ouvre actuellement cette dernière s’avèrent à terme des plus contre-productives.