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Yann Esteveny 28 octobre 2022 17:33

Message à Monsieur Luc-Laurent Salvador,

Discourir sur la violence mérite auparavant de clarifier cette notion sinon elle devient un vaste fourre-tout qui va physiquement d’une gifle à un enfant, passe par des actes de délinquance sociétale qui nous entourent, comprend des actes de mutilations physiques comme ceux infligés aux gilets-jaunes jusqu’à des actes de barbarie à l’encontre de la petite Lola Davier-Ropital. Il faudrait aussi évoquer impérativement les violences psychologiques redoutables car elles laissent moins de traces apparentes.

A une époque dévirilisée où tout propos dérangeant est assimilé à un acte violent pour les ultra-émotifs qui nous entourent, vous conviendrez peut-être que cet exercice n’est pas de trop !

N’en prenez pas ombrage, mais j’ai dit l’essentiel dans mon premier mail avec le ton qu’il convient par rapport à la légèreté de la solution décalée que vos proposez notamment concernant les actes de terrorisme dont vous ne pressentez aucunement les origines. La mièvrerie théorique non-violente est le terrain fertile de la barbarie qui progresse en France. Ne pas dire cette évidence sur le présent, vous aurez permis à juste titre de me désigner comme complice de cette violence sociétale qui explose.

Pour faire court pour les lecteurs, donner une gifle à un enfant est un acte violent mais ne pas en donner une à un moment peut être une faiblesse ou un acte qui manque à la Justice et aux devoirs des parents concernant l’éducation de leurs enfants. Maintenant, le lecteur comprendra que je parle pour les familles où l’Amour règne dans le foyer et constitue la principale source éducative.

Respectueusement


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