@Guy Troisbord

la guerre a été voulu par les dirigeants US actuels, or, comme les pays occidentaux sont totalement vassalisés aux dirigeants US, pour des raisons économique et politique, Macron ne « travaillera » à la paix que s’il en reçoit l’ordre ou l’autorisation de son suzerain US.

Quoiqu’il en soit, Poutine ne vaut pas guère mieux que Biden ou Macron, et se placer en défenseur de celui-ci revient à choisir entre la peste et le choléra.

De mon point de vue, la guerre actuelle (qui a commencé après la chute de l’URSS), oppose l’élite mondiale sur la meilleure manière d’exploiter et contrôler les citoyens, en aucune manière il s’agit d’une guerre entre le bien et le mal, le bon et le méchant ou encore la démocratie et la dictature étant donné que tous les pays sont des dictatures.

Poutine semble penser à juste titre d’ailleurs, que le capitalisme et la dictature qui est nécessaire au maintien de ce système mafieux ne peut pas dépasser le cadre de la nation, tandis que les autres semblaient (à priori car rien n’est moins sûr) penser qu’il est possible d’ériger une forme de dictature mondialisée. Ce qui est impossible, car cela signerai la mort du capitalisme à court ou moyen terme. La guerre en Ukraine me laisse d’ailleurs penser qu’ils n’y croient plus si jamais ils y ont cru, mais penchent pour le monde orwellien.

Bref, la limite supérieure est la division du monde en deux pôles opposés, au delà, c’est le principe communiste qui s’impose de lui même et signerai la fin du modèle capitaliste.

Ce que Orwell avait parfaitement décrit dans son livre 1984 et vous pouvez vérifier, tout ce qu’il écrit et décrit dans son livre s’applique parfaitement à la situation actuelle. Emploi systématique de la novlangue, réécriture permanente de l’histoire, division du monde en deux blocs et tout ceci dans le but de permettre et garantir à la minorité propriétaire de maintenir sa domination et exploitation de la vie d’autrui à son profit exclusif, car jusqu’à aujourd’hui le temps de vie ne peut s’accumuler, s’accroitre que par l’exploitation de celui d’autrui.