Bonsoir Sabine,
Un diner avec un personnage de ce genre, ce sont deux heures volées à la vulgarité, aux « rezocosio », aux Kevin, aux Bac moins 12... La grâce, les mimiques, les nuances de gris, pas de noir et blanc.On l’écoute, on regarde, on ne dit rien.
PS:ce qu’elle dit dans la 1ere interview ( « Vinyle », avec Juan Massenya) sur Rachid Taha ( et de façon assez sensible) semble très partagé avec tous ceux qui l’ont connu. Jean Fauque, qui a écrit pour lui, en parle encore avec émotion. Rudolphe Burger aussi.