Je poserai la question autrement. Etiez-vous plus malheureux ou moins heureux avant de fumer ? Ne s’agit-il pas simplement d’un besoin créé (d’abord par la pub, puis par une certaine pression sociale : faire comme les copains), d’une forme de consumérisme ? La pause n’est-elle pas toute aussi bonne avec un thé ou un café ?
Vous savez, mourir à petit feu d’insuffisance respiratoire ou cardiaque, être planté à coté de sa bouteille à oxygène en étouffant, ce n’est pas une mort agréable...