@Pauline pas Bismutée

Merci Pauline. Pour mon article, je suis juste désolé pour ceux qui n’y auront pas eu accès. Les « modérateurs » ont pu le découvrir. Je ne sais pas si cela représente beaucoup de monde ?

Pour des raisons de « rentabilité », la médecine a beaucoup été « complexifiée ». Les gens n’y comprennent plus rien. Un immense, un énorme coupable dans notre santé, est le « stress oxydatif » dont l’élévation va être à l’origine de dysfonctionnements de plus en plus importants, le temps passant.

Pour comprendre le développement des maladies il faudrait raisonner de fonctionnement « holistique ». Au lieu de cela, la médecine a divisé l’être humain en organes avec des « spécialistes » pour chacun de ceux-ci. Evidemment qu’il est important de comprendre exactement le fonctionnement d’un organe. Les chirurgiens, spécialistes de tel ou tel organe, font véritablement des miracles. Mais la séparation de la médecine en différentes « spécialités » a provoqué une perte de la vision du fonctionnement « global » de l’organisme. 

Si l’on prend un peu de recul, on peut s’apercevoir qu’une très grande majorité de maladies a pour origine un « dysfonctionnement métabolique ». C’est absolument « clair » mais ceci est dissimulé. Pour être parfaitement concis, ce qui provoque les maladies du métabolisme c’est, d’une part, une alimentation qui ne tient pas compte de la « bonne » répartition des macro nutriments, et, d’autre part, les effets dévastateurs de la pollution, qu’elle soit atmosphérique ou issue des pesticides et des additifs chimiques. J’ajoute, quand même, le rayonnement électromagnétique, dont l’action délétère sur l’être humain pose de nombreuses interrogations, demandant l’application du « principe de précaution », ce qui n’est pas réalisé.

Il est tout à fait possible d’intervenir sur notre métabolisme pour le rendre « fonctionnel ». Mais jamais, au grand jamais, les médicaments ne seront en mesure de le faire. C’est absolument sur « l’alimentation » qu’il faut agir, en qualité et en quantité, pour soigner les maladies métaboliques. Parce que, en effet, il n’est possible d’intervenir qu’à la marge sur la pollution et le rayonnement électro-magnétique. 

Les gens sont très peu éduqués et, majoritairement, ils ne comprennent pas la « relation de cause à effet directe » entre leur alimentation et leur état de santé. Je parle du diabète, de l’hypertension, de l’insuffisance rénale, des rétinopathies, de l’obésité, de l’apnée du sommeil, des maladies cardio-vasculaires, des maladies dégénératives, des cancers, des maladies auto-immunes, même de l’arthrose.

Il ne s’agit absolument pas d’une « affaire de calories », tout simplement parce que l’organisme humain ne compte pas les calories. Aucun biologiste ne parle de « calorie » mais plus exactement « d’énergie ». Parce que l’être humain a besoin « d’énergie » pour son fonctionnement et non de calories. Il va donc produire de l’énergie à partir des macro nutriments et cela se passe dans un transfert permanent d’électrons dans les mitochrondries de nos cellules. Une production « plus propre » d’énergie fait diminuer le stress oxydatif. 

C’est assez pour aujourd’hui.