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Eric F Eric F 29 mars 2023 11:05

En cas de crise sanitaire,
-Le premier réflexe des gouvernants est de minimiser et rassurer pour éviter la panique et le rush sur des médicaments conduisant à leur pénurie.
-Le deuxième réflexe ensuite est d’ouvrir le parapluie, s’abriter derrière des experts pour justifier les mesures.
-Le troisième réflexe enfin est l’alarmisme, avec une escalade de mesures : pour ne pas être accusé de ne pas en avoir fait assez, il faut en faire trop.
-A quoi s’ajoute l’opportunisme des affairistes et la collusion avec les décideurs

Alors on peut comprendre qu’à chaud lors du premier pic d’une épidémie que l’on pouvait craindre dramatique (il y avait eu la dramaturgie des hôpitaux de campagne et confinements durs de Wuhan), des mesures drastiques soient prises, notamment pour éviter l’engorgement des soins.
Mais ces mesures ont été prolongées et durcies, alors qu’elles auraient pu devenir plus ciblées, et que par exemple la liberté de prescription pouvait être rétablie, au lieu du tout-hospitalier. Mettre aux arrêts de rigueur tout un pays a été abusif et extravagant.

La plupart des pays ont agit par mimétisme, par exemple certains pays avaient distribué des masques, cela a été généralisé partout. Idem confinements, idem couvre feu, idem pass sanitaire...

Bien sûr, l’hystérisation de la situation a induit un effet boomerang, l’excès de mesures est interprétée par les esprits perturbés comme une volonté délibérée de nuire, rendre stérile, ou d’exterminer.


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