L’épisode du tressage m’évoque la salsepareille. Dans les forêts de ma jeunesse (Aquitaine) il n’y en avait pas ou très peu. Faut dire que c’est d’avant les Schtroumpfs.
Voilà une plante qui se tresse toute seule, mais gare aux mains des enfants qui s’y risqueraient. Les plus beaux arbres ne sont pas à l’abri d’être étouffés par elle, aussi je la coupe à la base ; l’an suivant, on observe en l’air d’énormes corbeilles dans lesquelles elle a retenu les feuilles d’automne.
Bref, je ne vois que des raisons de détester cette engeance, et ça me désoblige. Vous auriez une idée de son rôle ?