Porter atteinte à la vie d’autrui n’est pas un droit, le fœtus humain n’a pas le même ADN que sa mère, il est donc un corps étranger, un être unique, une identité à part entière, une vie en puissance.
Y mettre fin volontairement est un crime, commis de manière la plus horrible, révélé dans le célèbre documentaire du docteur en gynécologie Bernard Nathanson « le cri du silence »(âmes sensibles s’abstenir), où une échographie filmée en temps réel pendant un avortement, montre en détail la destruction du fœtus qui résiste et essaie d’échapper à la mort.
Éliminer de manière industrielle les enfants comme c’est le cas actuellement n’est pas un droit, c’est un crime : plus de 220 000 avortements sont pratiqués par an en France.
Quand une civilisation tue ses enfants en masse en refusant le « miracle qui sauve le monde » par lequel Hannah Arendt désignait la naissance, elle finit soit par s’éteindre, soit par être submergée.
Rappelons que le droit français autorise l’avortement jusqu’à la 36ème semaine, c’est à dire que si la mère se sent en « détresse psychosociale », elle peut décider de faire tuer son bébé en pleine santé à la naissance.