Que l’âme ne soit pas formée dès la conception est plus logique que les considérations théologiques qui la feraient déjà naître dès la fusion des gamètes mâle et femelle, car on ne peut résumer la « vie » qu’au seul processus biologique. Quelle vie sans « vécu », ressenti, perception, conscience, sans autonomie, sans individualité propre, singulière... ?
On pourrait dire que dès la conception, la potentialité d’une âme à_venir est là, un peu comme dans la parabole du grain de sénevé...
Après tout dépend de conditions environnementales, conjugales, sociales,... qui seraient propices ou non à son avènement.
On parle de personnes qui n’ont pas d’âme, aucune empathie, aucune compassion, pas d’altruisme, et d’autres à l’inverse pour lesquelles par leur charisme on les considère comme de belles âmes.
Il y a semble-t-il une dimension métaphysique dans cette perception
(et pourtant plus) léger (il n’y a) rien