On ne peut pas clore le sujet de l’avortement (la volonté de la femme enceinte de ne pas poursuivre - ou comme on dit abruptement « interrompre » comme s’ il s’agissait d’un simple interrupteur, (donc d’interrompre un processus biologique, lequel au juste, celui biologique, le seul ? sans égard pour des questions métaphysiques, spirirtuelles
C’est faire fi de ce que l’on appelle « la conscience », reconnue il me semble dans les droits humains, dits droits de l’homme.
Cette gestation — qui n’est pas pour autrui ! — pour des raisons qui la regardent de près en premier lieu, (elle en fera affaire avec son âme, ou sa conscience...tôt ou tard)
Elle en rendra compte du moins à « elle-même », à sa conscience, car on n’efface pas la mémoire d’un coup de plume, celle d’un échec au fond, si ce n’est ici-bas avec elle-même, mais (peut-être eut égard aux athées, aux agnostiques, un Jour dans l’Au-delà )...
à charge et à décharge en Juste Procès Divin, car elle n’est forcément pas la seule impliquée dans ce début « raté » de fécondation, elle serait trop la coupable facile, la bouc-émissaire ! ... le rôle (l’influence) du géniteur étant la plupart du temps oublié ou minimisé dans ce processus.
A l’instar de la Parabole, la chanson qui dit de ne pas jeter la pierre sur la femme adultère (comme si hélas, elle, être faible par Nature (?)...) elle n’aurait été que la seule fautive...), j’ai le sentiment que dans cette affaire, triste évidemment, la société cherche son bouc-émissaire, sans même remettre en cause rien qu’un peu son fonctionnement « sociétal », longtemps régulé, à torts et à raisons, par le religieux, le rite, les valeurs morales séculaires, aujourd’hui balayées par la permissivité, le sexualisme comme mode de relation, de vie ou de jouissance débridée, et depuis peu par le wokisme