Merci à vous, Taverneux, pour cet article, qui répond à bien des questions que je me posais sur cette filiation de Cécilia Sarkozy avec Albeniz, sans que j’ose en chercher les réponses dans les rubriques « pipole ».
J’ignorais que notre nouvelle première dame était une pianiste émérite, mais je suis surpris de lire qu’elle évite de jouer son aïeul. Il faut dire que l’oeuvre de celui-ci, relativement réduite et en tous cas très sous-estimée à mon goût, est redoutable à jouer, en particulier les 12 pièces d’Iberia, son chef-d’oeuvre.
On parlait de la marque qu’imprime Sarkozy sur le protocole, il est clair qu’après l’apparition presque irréelle des différents membres de la famille recomposée, l’exécution d’Asturias le jour de l’investiture sarkozienne avait quelque chose d’une révolution de palais hispano-hongroise.