Au delà de ce texte très voire trop caricatural, j’ose espérer que l’auteur n’ignore pas qu’elle est une oligarque, très riche par rapport au reste de l’humanité ?
Et que hormis dans l’esprit des socialos étatistes, le monde ne se résume pas à une prétendue lutte des classes manichéenne mais à un ensemble complexe d’interactions et d’échanges.