pour que ça marche, il faut prendre plus de risques qui finissent en succès que de risques qui finissent en échec, ça veut dire qu’il faut faire un tri dans les risques, et prendre les risques les moins risqués.
C’est exactement ce que font les banques tous les jours. Vous croyez qu’elles ne prennent pas de risques ?
Pourquoi parlez-vous de business plans bidons ? Moi je ne les trouve pas bidons. Ils sont le reflet de la préparation et de la crédibilité d’un projet.
Il y a des tas de petites entreprises qui décollent, grâce aux risques que prennent les banques et les business angels.
Le métier d’une banque n’est pas d’aider tout le monde. Ca c’est le métier du social.
Sincèrement, combien de temps de survie donnez-vous à une banque qui prêterait plutôt à ceux qui n’ont pas réussi à avoir de l’argent qu’à ceux qui ont déjà commencé à en avoir ?
Si c’était vous, à qui vous donneriez la préférence ?