@juluch
Le problème est que même des secteurs d’anciennes habitations sont devenus de plus en plus inondés, du à l’absence d’absorption par les sols en amont (mentionnée par le présent article), et par la convergence des flots dévalant par les pentes et chaussées.
Pour ce qui est des constructions récentes en zone inondable, il faudrait sévir contre ceux qui ont délivré les permis de construite (comme ce fut le cas à la Faute sur Mer). Les assurances vont devoir reconsidérer leurs tarifs selon le risque.
Ayant peu de prise sur le climat (ce qu’on fait en France n’a qu’un imopact marginal au niveau planétaire), c’est l’adaptation aux changements qui doit être la priorité, incluant le transfert de zones d’habitation.