C’est qu’on paye cher le « pieds dans l’eau » !
Sauf qu’actuellement, même le cul, n’est plus au sec.
Et c’est là que rapplique, la palanquée de clous de la croix, sensés nous faire tenir en crusci-fiction, face au changement climatique.
« Vous avez péché, et bien, noyez vous maintenant », et les calvaires portant les croix aux trois pales, se multiplient, rappelant à chacun, que la roue tourne....
Et voyez vous, ce vent, à part en être ( comme la feuille qui en est l’esclave) n’est pas la modernité qui nous sauveras., comme on nous le sussure avec insistance.