A l’AME, il faut aussi ajouter la dette contractée par les non-résidents sur des soins hospitaliers, et jamais réglée, qui frôle les 120 millions (une paille certes, mais quand même...).
Cette situation est d’autant plus insupportable que beaucoup de Français ont un reste à charge important et que même l’accès à la CSS gratuite est très restrictive, obligeant ces personnes à se passer de soins essentiels.
Tiens, ça ma fait penser que la franchise médicale va doubler en avril 2024.
J’aime bien la phrase de l’auteur : le pays des droits de l’homme est devenu le pays des droits de l’autre, et pas que pour la santé d’ailleurs.