Rien d’important, nouveau, spécial à commenter, mais, comme le feu de la photo centrale, le chaos...s’exprimer.
Que l’on évoque l’horreur du 7 octobre oui, et que l’on évoque les palestiniens est alors obligatoire.
Depuis des décennies le ratio [mort / blessé] Palestine — Israël est de l’ordre de 10 minimum, tous conflits confondus. Si la souffrance pouvait se mettre sur un livre comptable, un témoin complètement extérieur nommerait immédiatement un « + » coupable.
(Ignominie entendue : « oui, mais les palestiniens ils mettent toujours leurs enfants en avant en boucliers ».)
Mais la guerre et ses turpitudes ne répond pas qu’à cette logique humaine. Chacun qui pleure son enfant mort dans les bras, sa femme, son mari,...lance un éclair de malheur qui partant de tout l’être s’enflamme jusqu’au ciel infini.
Autrement dit, puissants de chaque bord, puissants agissant partout sur terre, mais quidams moyens évidement, lorsqu’ils ont choisi une mauvaise route, non seulement noircissent le visible mais alourdissent aussi l’invisible.
Pourquoi dévoiler ces malheurs ? Pour se persuader que le combat (*) est dur, plus dur qu’on ne l’imagine en général.
Courage , donc.
(*) Combat en soi-même, pour patiemment extirper de soi ce que l’on a (tous) de dégueulasse, ou bon, de pas terrible.