« Erasmus classique, comme tout le confirme (même les témoignages enthousiastes) n’apporte rien du point de vue professionnel »
Rien ?
C’est bien mal connaître l’importance des séjours à l’étranger sur un CV d’ingénieur ou pour pouvoir ensuite entamer une carrière académique.
Lorsqu’un étudiant ingénieur se rend à l’université de Toulouse pour suivre des cours d’aéronautique, il n’en retire rien ?
Alors oui, c’est élitiste.
D’ailleurs, dans le cas de l’Erasmus « 1 an » en avant-dernière année, les critères de choix sont claires : On regarde les grades des 3 premières années et on donne 2 point par GD ; 1 point par Dis ; -1 par seconde session.
Pour l’Erasmus « 6 mois », vu que le nombre de places est plus importantes, il y a rarement sélection. Sauf pour le choix de l’université.
Si l’on choisit de faire un Erasmus sérieux en se rendant dans une université ayant une spécialité bien connue (Aéronautique/Signaux/...) pour la suivre, il ne fait aucun doute qu’on en retire énormément.
Dans le domaine scientifique, c’est une possibilité d’apprentissage considérable.