Le front républicain
Macron a entendu haut et clair les
électeurs français qui ont massivement plébiscité un large virage à
droite sur les questions d’immigration, d’islamisation et de sécurité.
Il veut donc à nommer un premier ministre d’extrême-gauche à la tête d’un gouvernement antifa.
À présent, il faut parler de la future
« Majorité Plurielle » qui va aller de l’extrême-gauche représentée par
Ruffin et Corbière en passant par Ruffin et Brossat à l’aile droite
macroniste représentée Bernard Philippe et Gérald Darmanin.
L’apatride Attal s’active en ce sens.
Tous les partis du régime sont déjà occupés à négocier leur part du gâteau démocratique.
La Tondelier, militante rouge-verte,
veut déjà un ministère. Pour résister au fascisme bien entendu. Elle en
appelle aux électeurs de droite, qu’elle aime beaucoup, pour faire leur
devoir démocratique et porter le Parti Socialiste à Matignon.
Le communiste apatride Brossat brûle d’envie de faire bloc avec Darmanin.
De son côté, Édouard Philippe, déjà candidat à l’élection présidentielle, ne trouve que des vertus aux marxistes.
Il est impossible de faire la liste de toutes les combines auquel le régime se livre pour maintenir la tête hors de l’eau.
On sait aussi ce que la gauche exige
pour prix symbolique de son ralliement à la gamelle républicaine : le
serpent de mer du retour de l’Impôt sur la Fortune (ils se branlent là
dessus sans arrêt), la retraite à 60 berges ou allez savoir quand, et
surtout beaucoup plus d’immigration (donc d’électeurs à terme, d’unités de consommations délirantes à la caisse de Carrouf’, et plus de prof pour dress..élév..instruire leurs petites têtes blon..têtes.).
Johanna Rolland (PS) affirme sur LCI que 2 points
essentiels doivent être dans un éventuel projet de coalition : «
l’abrogation de la réforme des retraites et de la loi asile immigration »
— Renaud Pila (@renaudpila) July 3, 2024
Sardine Rousseau sait où trouver le fric : dans les comptes bancaires des fachos.
Ces combines ont toutes les chances de
réussir à conjurer une majorité absolue pour le RN.
Marine Le Pen n’en veut pas, ni Jordan Bardella, leurs électeurs en
revanche, si.
L’arrivée au pouvoir d’une coalition
antifasciste, peuplée de communistes, d’écologistes zinzins, de pourris
endurcis du PS et de toutes les nuances du centre-droit affairiste se
traduirait par une catastrophique politique migratoire, sécuritaire,
mais aussi économique.
Ce serait la version hardcore du macronisme.
Prenez le pire de ce qui s’est fait en 7 ans et multipliez ça par dix.
Boomers retraités, immigrés, cas
sociaux, fonctionnaires syndiqués, journalistes, showbiz, ils ont tous
très faim et ils veulent tout dévorer et Macron met tout cela au point
avec méthode.
Je ne suis pas certain que conserver son capital en France soit une riche idée dans les années à venir.
Tout dépend des créanciers
internationaux. S’ils arrêtent de prêter, la France va expérimenter une
situation à la grecque, mais bien plus brutale.