@Géronimo howakhan

Salut Géronimo

copié-collé : « Dommage, mon dernier qui aurait pu y passer suite à un probleme artèro-veineux au cerveau (MAV) lui dit et trouve que la vie c’est formidable...et pourtant il a des séquelles ..depuis 5 à 6 ans ( épilepsie) »

A t-il essayé l’alimentation « cétogène » pour lutter contre cette épilepsie ? Cela fonctionne rudement bien. Il pourrait tenter cette alimentation durant 6 mois et voir les résultats sur sa santé. Après il pourrait passer à une alimentation moins restrictive, du genre « paléo ». 
Chez les épileptiques, le « glucose » commet des dégâts dans le cerveau ce qui entraine ces crises d’épilepsie. En fournissant, majoritairement, des « corps cétoniques » au cerveau, en lieu et place du « glucose », les symptômes de l’épilepsie s’effacent. Mais ces personnes, sensibles au glucose, sont dans l’obligation de surveiller étroitement leur alimentation pour avoir une vie dénuée de ces crises terribles.

... « La première suggestion de l’efficacité d’un régime pour traiter l’épilepsie a été faite par les français Guelpa et Marie en 1911. Ils ont développé cette diète thérapeutique afin de mimer le jeûne pour traiter les épilepsies. Dix ans plus tard, les médecins de la clinique Mayo ont développé un régime cétogène riche en lipides et pauvres en glucides et protéines, toujours dans le but de traiter des patients atteints d’épilepsie.
En 1927, Talbot utilise un régime cétogène proche de celui que l’on connait à l’heure actuelle, avec un ratio 4:1. De nos jours, l’efficacité du régime cétogène sur les épilepsies de l’enfant a été démontrée dans plusieurs essais cliniques randomisés, ainsi que dans des études prospectives sur des syndromes épileptiques spécifiques.
Des recommandations sur la prise en charge clinique optimale d’enfants traités par des thérapies alimentaires ont également été publiées en 2018. En se basant sur la littérature, on observe une diminution de 50% des crises chez à peu près la moitié des patients après trois mois de régime, avec un nombre de crises diminué dans les deux premiers mois du traitement chez la majorité des patients répondeurs. »...