@SilentArrow
Je pense que les maladies sont d’ordre métabolique, c’est, par conséquent, sur le métabolisme qu’il faut travailler.
L’organisme a une « obsession » : maintenir à l’équilibre ses constantes physiologiques (température, glycémie, équilibre acido-basique, tension artérielle, par exemple, pour ne citer que les principales). Ainsi, ce que l’on appelle vulgairement « dysfonctionnements » ne sont pas réellement des « dysfonctionnements » mais, plus exactement, des « pis-aller », c’est à dire des mesures de sauvegarde prises par l’organisme face à un environnement hostile. Dans cet environnement « hostile » nous pouvons agir sur l’alimentation, et sur l’alimentation seulement, à moins d’avoir la possibilité de s’installer sur des terres vierges de pollution, qui deviennent rares aujourd’hui. L’image c’est celle de la « goutte qui fait déborder le vase ». Jusqu’à un certain point, l’organisme parvient à maintenir son intégrité mais la « dernière goutte » peut lui être fatal.
Pour le « neurofeeback » je lis ceci : « Le neurofeedback, aussi appelé neurothérapie, est une technique d’entraînement de biofeedback propre au fonctionnement du cerveau. L’objectif consiste à moduler les ondes cérébrales dans le but d’optimiser le potentiel de chaque individu. Cette technique repose sur l’utilisation d’un électroencéphalogramme qui fournit une rétroaction en direct de l’activité cérébrale. La modulation des ondes cérébrales se fait par conditionnement opérant. D’abord, une évaluation doit être réalisée à l’aide d’un électroencéphalogramme quantitatif afin d’identifier si certaines zones du cerveau présentent des anomalies. En effet, celles-ci empêchent la personne traitée de profiter de son plein potentiel, tant au niveau cognitif, affectif que moteur (par exemple la présence de tics). Lorsque les résultats de l’évaluation sont connus, des protocoles d’entraînement précis et personnalisés pour chaque individu sont élaborés et proposés. En fonction des zones problématiques du cerveau et des ondes cérébrales identifiées à l’évaluation comme étant moins efficaces (Delta, Thêta, Alpha, Bêta, Haut-Bêta), une inhibition ou un renforcement de celles-ci est initiée en procédant à des séances d’entraînement. »
Je n’y crois pas du tout à ce « neurofeedback » parce que tout ce dont à besoin l’organisme pour bien « fonctionner » c’est de bonnes sources énergétiques. Maintenant, il s’agit, effectivement, d’identifier ces bonnes sources énergétiques. Et les « glucides » ne sont pas nos amis dans cette perspective. Les voies métaboliques mises en oeuvre pour exploiter l’énergie des « glucides » ne sont pas les mêmes que celles utilisées pour tirer profit des lipides. Ceci est absolument déterminant. Dans le premier cas, les cellules vont produire du méthylglyoxal, dont il faudra se débarrasser, dans le second cas, il n’en produira pas. Et du méthylglyoxal qui s’accumule, c’est grave pour l’organisme, parce que le méthylglyoxal est fortement cytotoxique
Le diable est dans les détails et la biologie connait parfaitement bien ceux-ci qui, malheureusement, ne font pas l’objet d’une grande communication, c’est le moins que l’on puisse dire.
Methylglyoxal in the Brain : From Glycolytic Metabolite to Signalling Molecule
https://www.mdpi.com/1420-3049/27/22/7905