En 2008, il y aura deux Chines : celle que les Chinois eux-mêmes seront autorisés à voir et celle que les Occidentaux, présents à Beijing, diffuseront dans le monde. Comme l’indique si bien Amnesty International : « le public chinois risque de se voir refuser l’accès aux reportages étrangers sur des sujets sensibles, en particulier après l’introduction de règles en septembre dernier, qui ont renforcé le contrôle officiel sur la diffusion nationale des nouvelles provenant d’agences étrangères en Chine ».
Pierre R.
Montréal (Québec)